Première guerre mondiale
Portrait social
il trace un portrait sans complaisance d’une société allemande qu’il montre décadente et désillusionnée.
Nouvelle objectivité
« Mon vœu est d’adhérer le plus étroitement possible à notre époque, sans me soumettre à un dogme esthétique ».
Dix décrit avec beaucoup de cruauté la république de Weimar, ses contemporains,, la bourgeoisie intellectuelle et industrielle qui vient poser dans son atelier de Dresde.
« Il me faut le courage de peindre le laid, il me faut la vie dans toute sa densité ».
Artiste dégénéré
Dix est bien sur classé dans la catégorie des artistes « dégénérés »( « Entartete Kunst ») et renvoyé de son poste de professeur à la Kunstakademie de Dresde, ses œuvres confisquées, détruites et interdites…
Il est demandé aux élèves de troisième de construire un autoportrait en s’appropriant les codes de représentation des portraits d’Otto Dix : références à la peinture classique, présence d’un objet attribut, pose et gestuelle emblématiques du statut du modèle, décor et mise en scène du personnage, matérialité picturale…
Les élèves sont invités à travailler avec les moyens de la peinture sur un format raisin.